
Expérience avec Thomas Pesquet
Le 18 octobre, nous sommes allés à la rencontre des élèves de la classe écureuil du GS16, Coteau de Chasse !
Parmi 2000 classes en France, 4 écoles primaires de L’Isle d’Abeau ont été sélectionnées (GS11, la Peupleraie – GS16, Le Coteau de Chasse – GS19, Louis Pergaud – GS17, Les Fauvettes) ainsi que le Collège François Truffaut.
Ces élèves ont la chance de vivre une expérience scientifique unique autour du blob, menée depuis l’espace par l’astronaute Thomas Pesquet.
Immergés dans la classe du Maître Florent Totel, nous découvrons des élèves concentrés, réfléchis.
L’objectif de l’après-midi : tester la capacité du Blob à passer à travers de tout. Une barrière inventée par les élèves devra tenter de le stopper. Est-ce possible ? Toutes les solutions sont envisagées : barrières de bouts de bois, de lait, de sel, de pâtes ou même encore de Babybel !
Cette manipulation faite, il est temps de fermer la coupelle transparente et la placer dans une boîte noire « Pas touche au blob ! ». C’est avec une caméra et un timelapse (effet accéléré), que les élèves découvriront 24 heures plus tard, le résultat de leur expérimentation !
- Le blob
- La classe des écureuils
- Expérimentation avec une barrière de sel
- Expérimentation avec un babybel
- Expérimentation avec une barrière de bois
- Expérimentation avec une colline
- Expérimentation avec une barrière de pâtes
- concentration maximum
- Fierté !
- Réflexion
- Boîte « Pas touche au Blob »
- Visionnage en images accélérées
Qui peut nous en dire un peu plus sur le blob, ce petit « être » plus vieux que les Dinosaures ?
D’après Soheil : « Thomas Pesquet a testé la réaction du blob en apesanteur et a prouvé que le blob a « sauté » dans l’espace et a réussi à se déplacer et explorer cette troisième dimension ! ».
Clémence ajoute que « cette expérience scientifique a été proposée juste pour voir comment il allait réagir à l’apesanteur »
Après diverses expériences, Amir explique que « le blob n’est ni végétal, ni animal et pourtant il aime les flocons d’avoine, les chips, les kiwis, les citrons, mais n’est pas friand du chocolat à l’orange ni des feuilles »
Wassim rebondit ! « Le blob peut bouger à certains endroits mais il n’a ni yeux, ni bouche, ni cerveau ! Et pourtant, il est capable de « manger » toutes les parties qui l’intéressent, il les recouvre, puis les absorbe.
Le blob entoure sa nourriture et sécrète des enzymes pour la digérer ! Il ne ressent pas la douleur et si nous le coupons, il formera juste des clones ! »
Aymen, lui, ajoute que « le blob vit surtout dans des forets et se développe lorsqu’il y a de l’humidité. On peut même en trouver en France ! »
Riyad précise qu’en effet, « le blob n’aime pas les endroits secs, ni le soleil et est plutôt adepte de l’ombre et de l’humidité. »
Enfin, Lilian n’hésite pas à conclure que « l’autre nom savant du blob est physarum polycephalum ! ».
Quelle mémoire !
Et ce n’est pas fini !
Cette expérience unique continue. Nous vous donnerons des nouvelles prochainement !!